Je suis candidat à la mairie avec la future équipe municipale de Solidarité et Progrès.
Vous qui avez voté massivement contre Sarkozy et qui voyez aujourd’hui votre nouveau président abdiquer face à l’ennemi de la finance, il est temps de se ressaisir.
Nous devons, tel un village gaulois, bousculer la donne et montrer au yeux du pays et de l’Europe ce qu’une ville pourrait devenir en s’affranchissant des coupes budgétaires, de l’endettement et de la désindustrialisation.
Et ce, avant toute chose, en exigeant dès maintenant une vraie séparation entre banques de dépôt et banques d’affaires.
La ville de Rennes, plutôt que se laisser mener dans un nouvel « An dro » de dette par l’émission de nouveaux bons municipaux, devrait émettre, dès aujourd’hui, un vœu de séparation stricte des banques et exiger le retour du crédit productif public pour financer de grands projets sur le long terme. C’est ce qui créera de l’emploi et du pouvoir d’achat, le reste est du pipeau.
Nous devrions relever le défi que représente la fermeture programmée de PSA pour mettre en œuvre des transports en commun plus modernes et révolutionnaires (comme l’aérotrain par exemple), conserver nos machines-outils en les reconvertissant dans de nouveaux modes de fabrication et ainsi sauver nos emplois qualifiés tout en en créant de nouveaux.
Faire pousser le métro jusque dans les villes aux alentours de Rennes serait un bon début pour cette reconversion.
Enfin, nous réussirons cet effort de changement économique en favorisant, pour les jeunes, une culture basée sur le partage d’une véritable créativité humaine au sein des quartiers, plutôt que le défouloir émotionnel des bruyants festivals.
L’optimisme existe grâce à l’idée de potentiel qui permet de voir au-delà des problèmes présents et envisager l’avenir qui doit être. Le but de notre campagne : incarner la vraie résistance politique, économique et culturelle réalisant ce potentiel.
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